
Le chef de gang haïtien Lanmò Sanjou, alias Joseph Wilson, à la tête du redoutable groupe des 400 Mawozo, a fait une déclaration choc suite à l’attaque qui a visé une usine hier. Contre toute attente, l’opération n’aurait pas été menée pour défendre les intérêts du peuple, mais dans un but bien plus sombre : brûler l’usine afin d’effacer toutes les traces et preuves des actes illégaux qui s’y déroulaient.
La Déclaration Controverse de Lanmò San jou
Le gang des 400 Mawozo, connu pour ses activités de kidnapping et sa violence dans la région de Port-au-Prince, notamment à Croix-des-Bouquets, se retrouve une nouvelle fois au centre de l’actualité.
Lanmò Sanjou affirme avec force que l’attaque qu’il a subie n’avait aucune visée patriotique. Selon ses propres mots, le véritable objectif était une opération de destruction ciblée.
L’attaque n’est pas pour défendre le peuple haïtien, mais pour brûler l’usine afin d’effacer toutes les traces des actes illégaux qui s’y déroulaient. »
Impact et Implications Politiques en Haïti
Cette version des faits est fournie par l’un des acteurs les plus violents et recherchés du pays. Elle écarte l’idée d’une simple confrontation. Elle écarte aussi celle d’un acte de rébellion populaire. Elle expose plutôt une guerre des clans pour le contrôle du territoire et des activités lucratives. L’attaque de l’usine visait peut-être à détruire des preuves. Si tel est le cas, cela pourrait avoir des répercussions significatives. Cela affecterait d’éventuelles enquêtes nationales ou internationales concernant le crime organisé en Haïti.
Lanmò Sanjou, également connu sous le nom de Joseph Wilson, est sous le coup de sanctions internationales. Il est activement recherché pour enlèvement et prise d’otages. Cela ajoute du poids à l’importance de chacune de ses déclarations.
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