
Un match de football, un moment de détente qui a viré au cauchemar. C’est l’histoire tragique d’un jeune homme de 29 ans qui a été froidement abattu par des agents de la Brigade d’Opérations et d’Intervention Directe (BOID) en civil. Mais le plus choquant, c’est ce qui a suivi.
Une interdiction de soins mortelle
Alors que le jeune homme luttait pour sa vie, les mêmes agents de la BOID ont osé interdire à quiconque de le transporter à l’hôpital. L’homme, qui n’est pas encore décédé, est laissé à l’agonie. Une cruauté sans nom qui a des conséquences déchirantes : il laisse derrière lui une femme enceinte, seule face à une douleur insupportable.
Le silence assourdissant des médias
L’indignation grandit alors que les médias, si prompts à dénoncer les violences de la BSAP, restent étrangement silencieux. Tavin Radote, T-Cheriel Thelus, « Ti Koze ak Lynn » et d’autres voix habituellement fortes se terrent. Est-ce le prix à payer pour ne pas « perdre leurs chèques » ? Une justice à deux vitesses qui montre l’hypocrisie de certains.
Un pays qui va mal
L’auteur de ce texte ne mâche pas ses mots : « Ce pays ne sera jamais bon ». Une phrase qui résonne en chacun de nous. Alors que les lois sont brandies contre la BSAP, la brutalité policière de la BOID est acceptée en silence.
La question reste entière : jusqu’où ira cette impunité ?




