
L’échec est patent : la gouvernance actuelle en Haïti est déraillée. Le Conseil Présidentiel de Transition (CPT) semble avoir piteusement échoué. Certains membres sont de vieux briscards de la politique haïtienne. Il a échoué tout comme l’administration d’Ariel Henry avant lui. La population voit un CPT miné par les tensions internes. Les accusations mettent en péril la transition démocratique tant attendue.
Montée de l’Insécurité et Corruption Endémique
L’insécurité gagne du terrain, affectant tous les aspects de la vie quotidienne. Parallèlement, la corruption continue de gangrener l’administration publique.
Des conseillers-présidents du CPT sont régulièrement accusés d’être des corrompus impénitents. Au fil des jours, de nouveaux dossiers sombres émergent sans cesse. Les scandales éclaboussent le plus haut niveau de l’État.
Détournements de Fonds Publics et Nominations Contestables
Les conséquences de cette mauvaise gouvernance sont désastreuses :
• Les caisses de l’État seraient vidées.
• Des nominations contestables et stratégiques sont effectuées.
• Certaines personnes ayant de nombreuses casseroles (un passé trouble) sont nommées à des postes stratégiques et sensibles.
Ce climat de crise politique, d’insécurité chronique et de corruption généralisée rend la tâche du CPT extrêmement difficile. Cela soulève de graves préoccupations quant à sa capacité à ramener la stabilité. Il s’agit également de sa capacité à organiser des élections crédibles en Haïti.







