
Le directeur général de la Police Nationale d’Haïti (PNH) a aggravé la situation avec ses récentes déclarations. Cela a provoqué une réaction violente des partisans de Wilford Ferdinand, surnommé « Tiwil ».
Ces derniers ont intensifié leur rhétorique. Ils ont annoncé qu’ils étaient prêts à réduire la ville des Gonaïves en cendres. Cela arrivera si justice n’est pas rendue pour leur leader.
Cette situation est d’autant plus préoccupante que l’intervention de Jerry Fenk dans l’émission Matin Débat semble avoir exacerbé les tensions.
Face à ces menaces de violence, il est impératif que la police prenne des mesures immédiates et décisives. La sécurité des habitants des Gonaïves est en jeu. La PNH doit agir pour désamorcer la crise. Cela doit être fait avant qu’elle ne dégénère en un conflit ouvert.
Les autorités judiciaires et policières doivent mener une enquête approfondie sur la mort de Wilford Ferdinand. Cette enquête doit être menée en toute transparence et sans parti pris. Une telle démarche est cruciale pour apaiser la colère des partisans de « Tiwil ». Elle est nécessaire pour restaurer la confiance de la population dans les institutions de l’État.
La justice ne doit pas seulement être rendue, elle doit aussi être perçue comme telle.
La PNH, sous la direction de son chef, doit démontrer qu’elle est capable de maintenir l’ordre. Elle doit également protéger la vie et les biens de tous les citoyens, même dans des circonstances aussi délicates. La réponse à cette crise mettra à l’épreuve sa capacité à gérer la sécurité. Cela se produit dans un contexte de fortes tensions sociales et politiques.




